En moyenne, un automobiliste connaît un bris de vitre tous les sept ans. La sophistication croissante des composants d’une automobile a accru considérablement les coûts de remplacement. Les pare-brise ont pris ces dernières années des formes créatives, plus complexes et coûteuses à fabriquer. Par ailleurs, pour assurer une meilleure visibilité au conducteur, la surface vitrée a considérablement progressé. Enfin, la technologie du « feuilleté », plus onéreuse, mais plus résistante aux chocs et sûre en cas d’accident, a remplacé les parebrise en verre trempé.
Tout cela a considérablement renchéri pour les assurances, et pour les consommateurs, le coût du remplacement d’un pare-brise, parfois à peine endommagé. Ainsi, lors d’un contrôle technique, un simple éclat impose de changer l’ensemble. Enfin, pour les garagistes et les spécialistes, le stockage de ces pièces est difficile et coûteux, d’où des délais d’intervention accrus. Comment réduire les coûts, sans risque pour la sécurité ?
En moyenne, un automobiliste connaît un bris de vitre tous les sept ans. La sophistication croissante des composants d’une automobile a accru considérablement les coûts de remplacement. Les pare-brise ont pris ces dernières années des formes créatives, plus complexes et coûteuses à fabriquer. Par ailleurs, pour assurer une meilleure visibilité au conducteur, la surface vitrée a considérablement progressé. Enfin, la technologie du « feuilleté », plus onéreuse, mais plus résistante aux chocs et sûre en cas d’accident, a remplacé les parebrise en verre trempé.